Space Shuttle mission simulator

Exciting Simulations

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Introduction de Space Shuttle mission simulator

Avant de parler de Space Shuttle mission simulator, il faut remonter en 1991. Alors que le début des simulateurs avait commençé à percer avec notamment les premiers Flight Simulateurs, le jeune monde du PC voyait un nouveau style de simulateurs avec des Navettes Spatiales. Le simulateur qui a ouvert le bal était Virgin Space Shuttle développé par Vektor Grafix Ltd. Ensuite, timidement, Microsoft emboite le pas avec un Space Flight Simulator (1994) et puis, rien … Un grand vide à la même image que l’infinité de l’espace sidéral. Pourquoi ? Nul ne le saura vraiment, mais nous pensons que le temps de développement et la complexité des systèmes et une cible incertaine ont refroidi les développeurs. Certains concepteurs passionnés en informatique et en aérospatiale on tenté de réaliser des programmes « maison » avec les plus connus d’entre eux comme Orbiter et Eagle Lander 3D.

Mais pas vraiment de simulateur à proprement parler de Navette Spatiale à l’instar de Shuttle de Virgin Games. Fin 2004, une équipe réalise les bases d’un nouveau simulateur dit à la « Virgin Shuttle » ; ce simulateur tant attendu se dénomme S3 pour Space Shuttle Simulator. La base de Space Shuttle Mission 2007 de Exciting Simulations venait de naître. Par manque de temps et de moyen, seule une entreprise expérimentée pouvait aider le développement de ce programme. Après presque 4 ans de travail, voilà Space Shuttle Mission 2007 !

Un peu d’histoire

Officiellement appelée STS pour Space Shuttle Transportation, et développée par la NASA (National Aeronotics and Space Administration), la Navette Spatiale ou Space Shuttle est le premier vaisseau spatial réutilisable du monde. Il se lance en position verticale, transporte du matériel à une orbite proche de la terre (100 à 217 milles nautiques) et revient atterrir en toute sécurité sur une piste, tout comme un avion conventionnel.

Au lancement, la poussée est assurée par deux SRB (Solid Rocket Booster) et par trois SSME (Space Shuttle Main Engine). Au bout de deux minutes environ, les SRB se détachent du ET (External Tank), tombent dans l’océan et sont récupérés par des équipes de secours spécialisées. Environ huit minutes plus tard, il se produit ce qu’on appelle un MECO (main engine cut off). Quelques instants plus tard, l’ET se sépare à son tour et tombe dans l’océan. En plus des moteurs principaux, il existe deux moteurs OMS (Orbital Maneuvring System) qui servent à donner une dernière « poussée » à l’Orbiter pour la mise en orbite. L’OMS sert à instiguer les manoeuvres principales en orbite et à exécuter la combustion de désorbitation qui fait ralentir la Navette avant sa rentrée. Le RCS (Reaction Control System) sert à contrôler l’inclinaison, le lacet et le roulis du véhicule en dehors de l’atmosphère. Lors de la rentrée et pendant le processus d’atterrissage de la navette, le RCS cède la place aux commandes conventionnelles que sont les ailerons et le gouvernail.

Le 1er vol eut lieu le 12 avril 1981 à Cap Kennedy avec les pilotes vétérans John Young et Robert Crippen. 6 Orbiters ont été conçus depuis 1976 : Enterprise, Columbia, Challenger, Discovery, Atlantis et Endeavour. L’Enterprise fut un démonstrateur et n’est jamais allé dans l’espace. Columbia et Challenger ont été détruites en missions.

A qui cette simulation s’adresse ?

Cette simulation s’adresse avant tout aux passionnés de Navette Spatiale et d’espace. Même si vous n’avez jamais été dans l’espace et je pense que c’est une grande partie d’entre nous, et bien sachez que cela n’est pas vraiment un problème car le programme offre plusieurs modes de « difficultés ». Prenons le mode le plus facile, et bien, à chaque fois que le centre de contrôle vous demandera une action (comme dans la réalité), un indicateur jaune vous dira quel bouton appuyer et à quel moment, donc il ne vous faudra que lire ou écouter l’ordre à effectuer et localiser le panneau concerné et via les indicateurs jaunes actionner les interrupteurs ou switches. Ensuite, en mode facile, la précision de placement des différents éléments demande une moins grande précision.

Par exemple, pour capturer un satellite dans la soute, vous devrez placer l’extrémité du Bras Télémanipulateur (appelé RMS pour Remote Control System) à une sorte de prise appelée « Grapple ». Cette extrémité appelée Wrist doit se présenter sous un certain angle (X, Y, Z et R P Y (roulis lacet et tangage). En réalité, ces valeurs doivent être extrêmement précises sans quoi lors de l’extraction, le satellite ne sortira pas correctement et risque d’endommager le matériel (le satellite lui même ou la baie). En mode facile, on vous demandera une moins grande précision (de l’ordre de 1° quand même) alors qu’en mode vétéran, là, c’est une autre histoire, car non seulement le Wrist doit être bien placé en terme de coordonnées mais il doit être parfaitement au centre du Grapple et aligné sur un repère de capture.

Sinon, pas de limite dans le temps pour toutes ces opérations, vous pourrez prendre votre temps, y aller en douceur et sauvegarder quand bon vous semble (quand vous n’êtes pas sûr de votre coup par exemple, sauvez juste avant et rechargez en cas d’erreur).

D’autres phases sont aussi complexes à savoir poser la brique volante (communément appelée par les pilotes) ou bien s’accoster à l’ISS (La station spatiale internationale) ou encore les opérations EVA (où vous sortez dans l’espace).

Notez qu’une très bonne documentation est fournie et qu’un forum francophone avide d’aider les débutants est disponible (la documentation sera prochainement traduite en français).

Achat et installation

Il vous faudra débourser la modique somme de 49 euros ce qui vous donnera droit à télécharger l’installateur qui fait dans les 130Mo. Le serveur est rapide. Cette taille peut paraitre faible mais croyez moi, le jeu est très bien compressé. Un fois le programme installé, vous devrez entrer vos codes d’activation unique que vous aurez reçus au préalable par email. Un temps d’activation demande quelques minutes seulement !

Cette clé est unique, une fois le jeu installé sur un PC, vous ne pourrez plus l’installer ailleurs. Si vous avez donc plusieurs ordinateurs, choisissez le plus puissant.

Nous vous conseillons d’éviter d’utiliser des adresses emails comme Hotmail pour l’activation car votre clé pourrait être considérée comme du spam. Une fois le code saisi, vous vous retrouverez dans le menu du jeu ! Rien de plus simple, cette opération ne demande que quelque minutes !

Premier lancement et configuration

Au premier lancement, vous arriverez à l’écran principal du jeu, nous vous conseillons dès à présent de créer votre astronaute afin que les missions soient comptabilisées. A chaque mission réussie (en partant de T-1:50:00) vous pourrez contempler vos exploits dans la page : Missions Achievments. L’écran de configuration est très simple, en fonction de la puissance de votre ordinateur, faites vos essais et vos réglages pour avoir un résultat fluide. Normalement, SSM2007 est optimisé pour fonctionner sans problèmes sur un large choix d’ordinateurs.

La complexité des systèmes

En mode novice, vous n’allez pas forcément essayer de comprendre vraiment pourquoi il faut appuyer là ou ici. Un guide vous indiquera en temps et en heures quels boutons, switches ou rotacteurs il faut actionner. Tant que tout n’est pas correct, un symbole « NO GO » clignotera en haut à droite. Le centre de contrôle lui aussi est sympa et vous indiquera même sur quel panneau il faut effectuer l’action. Ensuite, naturellement vous allez prendre vos repères et commencer à comprendre le pourquoi du comment.

Cet apprentissage sera long mais avec un peu de pratique, la Navette Spatiale n’aura plus de secrets pour vous et vous commencerez à chercher la compréhension des systèmes beaucoup plus en profondeurs ! Et si vous avez des questions, le forum SSM2007 est là pour vous donner des explications ou bien des documentations plus complètes. Donc, pour résumer, allez-y en douceur !

Les missions

Exciting Simulation™ propose dès le départ un vaste choix de missions. Le but est de proposer un large choix de missions les plus représentatives des activités des STS.

STS-1 (Columbia)
Le premier lancement de la Navette Spatiale eut lieu le 12 avril 1981. C’était non seulement le premier lancement de la Navette Spatiale, mais aussi la première fois que l’on utilisait des fusées à carburant solide pour un vol spatial américain. Les principaux objectifs de la mission de ce vol inaugural étaient de tester le système général de la Navette, d’accomplir une ascension en orbite et de retourner sur terre pour atterrir en toute sécurité. Tout ces objectifs furent atteints et la valeur de la Navette comme véhicule spatial fut prouvée.

 STS-8 (Challenger)
Le lancement de Challenger eut lieu le 30 aout 1983. Le décollage de nuit est le second d’un vaisseau spatial habité après Apollo 17 en 1972. Le but principal du vol est de tester les liaisons avec le satellite TDRS 1 via l’antenne band KU. Les tests ne sont pas concluants. Le 5 septembre de la même année. Cette mission est aussi la première mission où un afro américain fait partie de l’équipage. Le vol dura 6 jours et 1 heure. Challenger revient de nuit pour la première fois sur la base aérienne Edwards (EAFB)

STS-41C (Challenger)
Le lancement de Challenger pour le STS41C eut lieu le 6 avril 1984. Les deux objectifs de la mission furent le déploiement de LDEF (Long Duration Exposure Facility) et la réparation du Solar Max (l’une des missions EVA les plus passionnante et compliquée). Le LDEF est un satellite qui comprend plusieurs appareils qui proposent plus de 57 expériences scientifiques provenant de 8 huit pays différents dont la France. Il sera récupéré plus tard par une autre mission de la navette spatiale. le satellite Solar Max est destiné à l’observation du Soleil. Les astronautes sont chargés de remplacer son système de contrôle d’altitude et le boîtier électronique de son coronographe-polarimètre. Après avoir passé 6 jours et 23 heures dans l’espace, la Navette se pose en toute sécurité à la base aérienne Edwards le 13 avril.

STS-26 (Discovery)
Le 29 septembre 1988, après plus de deux ans et demi d’interruption suite au drame de Challenger en 1986. Suite à ce drame, l’étrange numérotation des missions est abandonnée, après STS9, les noms de missions comprenaient l’année fiscale, le chiffre de la base de lancement (1 pour KSC et 2 de Vendenberg) et la lettre alphabétique le numéro de mission de cette même année. C’est Discovery qui est chargée d’effectuer ce retour en vol. Tout se déroule correctement, au grand soulagement des ingénieurs et des techniciens de la NASA ainsi que des spectateurs. Dès le premier jour du vol, le satellite TDRS 3 est déployé. Il est équipé un IUS (Inertial Upper Stage), un moteur-fusée qui doit lui permettre d’atteindre par la suite son orbite géosynchrone. Le 3 octobre, la Navette revient sur Terre et se pose sur la base d’Edwards après avoir passé 4 jours dans l’espace. Tout s’est bien passé : la navette spatiale américaine est à nouveau opérationnelle.

STS-27 (Atlantis)
STS 27 est une mission DoD qui signifie Department of Defense, autrement dit, une mission secrète de la Navette Spatiale ! La vraie mission eut lieu en Décembre 1988 avec la Navette Atlantis qui s’est posée 4 jours plus tard, ce qui fait de cette mission la plus courte de l’histoire ! Pendant le lancement, la Navette fut touchée par le cône droit du SRB, ce qui a terriblement endommagé la Navette. Souvenez vous que la Navette Columbia fut détruite pour bien moins que ça lors de la STS107. Le but de cette mission est de déployer un satellite militaire de surveillance extrêmement sophistiqué !

STS-31 (Discovery)
Le lancement de Discovery eu lieu le 24 avril 1990. Le vol était initialement prévu le 10 avril mais il fut annulé -31 secondes avant le décollage à cause d’une panne d’une des valves auxiliaires de l’APU. L’objectif principal de ce vol fut le déploiement du télescope spatial Hubble (HST). Celui-ci a été spécialement conçu pour être lancé puis entretenu à l’aide de la navette. A bord se trouve une caméra Imax destinée à filmer les opérations extérieures, un autre caméra de ce type est à la disposition des astronautes à l’intérieur de la cabine. Tout se déroula sans problèmes et la Navette revient sur terre le 29 avril 1990 à la base aérienne d’Edwards.

STS-88 (Endeavour)
La Navette Spatiale Endeavour décolla du KSC le 4 décembre 1998 pour une mission qui durera 11 jours. L’objectif de la mission était l’assemblage du module américain Unity au module russe Zarya qui formeront une fois ensemble le 1er élément de la Station Spatiale Internationale (ISS). Un PMA a été installé à chaque extrémité d’Unity : un, servant à assurer la connexion entre Unity et Zarya et l’autre à assurer la connexion Unity-Navette. Le 11 septembre, la Station Spatiale Internationale est inaugurée par l’entrée dans Unity et Zarya de Robert D. Cabana et Sergei Krikalev. La communication entre la toute nouvelle station et le sol a ensuite été établie afin que les contrôleurs de vol américains à Houston puissent contrôler la station. Après avoir refermé la porte entre Zarya et Unity, la navette Endeavour s’est désamarrée de la station avant d’atterrir le 15 décembre à Cap Canaveral.

STS-96 (Discovery)
La Station spatiale internationale (ISS) peut maintenant être observée à l’oeil nu. L’apparition de cette nouvelle « étoile », le plus ambitieux projet jamais entrepris en sciences et technologies, est le résultat d’un effort collectif sans précédent. La Navette Spatiale Discovery décolla le 27 mai 1999 pour continuer l’assemblage de l’ISS avec le module Spacehab et ses 2 tonnes de matériels. Après 9 jours de missions, la Navette atterrit au KSC le 6 juin 1999 après avoir effectué 154 révolutions autour de la terre.

STS-93 (Columbia)
La plus importante des missions de STS-93 est l’injection sur orbite de transfert du télescope Chandra X-ray Observatory. Cady Coleman et Michel Tognini seront responsables de son déploiement. Ce télescope va localiser des sources de rayonnement X situées aux confins de l’univers. Il permettra de mieux comprendre des phénomènes cataclysmiques très lointains, comme les supernovae, les chocs de galaxies, les trous noirs.

STS-103 (Discovery)
La défaillance précoce de 3 des 6 gyroscopes du télescope oblige la NASA à avancer la troisième mission de maintenance du HST prévue initialement en 2000. Trois gyroscopes au minimum doivent fonctionner pour répondre aux exigences très précises du pointage du télescope. Discovery décolla de Kennedy Space Center le 19 décembre 1990 pour effectuer la troisième du télescope spatiale Hubble (HST) depuis son lancement en 1990. Après 3 sorties dans l’espace, le HST est à nouveau opérationnel. La Navette s’est posée de nuit à la base de Floride après une mission de 7 jours et 23 heures.

STS-99 (Endeavour)
Cette mission se déroula le 11 février 2000 avec la navette Endeavour. Lors de cette mission, l’équipage de la navette devait faire un relevé de la topographie de la terre (Shuttle Radar Topography Mission SRTM).C’est grâce à cette mission que nous pouvons effectuer des vols précis avec Flight Simulator ! La masse satellisable se composait d’un radar très sophistiqué C-Band et X-Band avec un senseur extensible qui permettait d’avoir une énorme précision pour des images en 3D de la terre entre 600N et 560S. Pendant cette mission, l’équipage a rapporté plus d’un trillion de données brutes sur la topographie de la terre. La mission STS99 s’acheva par un atterrissage en toute sécurité au KSC le 22
février.

STS-121 (Discovery)
La navette spatiale Discovery décolla le 4 juillet 2006 au KSC qui a eu pour principal objectif de rejoindre la station spatiale internationale afin d’y livrer de nouveaux équipements. Cette mission était aussi destinée à effectuer de nombreux tests et de valider de nouvelles procédures de vol et de sécurité avec l’utilisation de l’OBSS. Par ailleurs, l’astronaute allemand Thomas Reiter est resté à bord de l’ISS dans le cadre de l’expédition 13. Il est le troisième résident sur l’ISS qui ne comptait que deux membres d’équipages permanents depuis l’accident de la navette spatiale Columbia.
Après une mission de 12 jours sans problème, la navette glisse dans l’atmosphère sous l’intense surveillance de la NASA et c’est poser au centre spatiale Kennedy en Floride.

STS-116 (Discovery)
La navette spatiale Discovery décolla le 9 décembre 2006 du KSC à 20:47 EST. Les deux objectifs principaux étaient l’installation de la structure P5 et l’activation des systèmes permanents de climatisation et d’alimentation électrique. En outre, ce vol a permis de remplacer Thomas Reiter par Sunita Williams au sein de l’expédition 14. Enfin, quatre petits satellites artificiels ont été déployés après le désamarrage d’avec l’ISS. Discovery s’est posée au KSC après 12 jours du missions.

STS-117 (Atlantis)
Atlantis décolla sans problèmes le 8 juin 2007 pour délivrer le 3ème segment (S3/S4) de la Station Spatiale Internationale ainsi qu’une nouvelle paire de panneaux solaires. STS-117 était la 21ème mission pour la Station Spatiale. Tout se déroula sans problèmes et la Navette revient sur terre en toute sécurité le 22 juin 2007 à la base aérienne militaire d’Edwards EAFB en Californie.

STS-122 (Atlantis)
Atlantis décolla pour la 24ème fois pour la Station Spatiale International (ISS). Cette nouvelle mission est l’une des toutes dernières missions du programme Spatial Americain lancé le 7 fevrier dernier avec à bord le français Léopold Eyharts ainsi que le module Columbus, ce qui fera rentrer l’Europe dans la station ! Une mission aussi palpitante que passionnante !

STS-124 (Discovery)
La navette spatiale Discovery décollage le 31 mai à 21H02 GMT (17H02 locales), du pas de tir 39-A du Centre spatial Kennedy près de Cap Canaveral. La navette spatiale américaine Discovery et son équipage de sept astronautes ont pour mission de livrer et d’attacher le principal module de Kibo (JPM), le laboratoire japonais, à la Station spatiale internationale (ISS).

Pourquoi ce choix de missions ?

Ils ont mis un accent particulier sur la possibilité d’offrir des missions plus récentes impliquant ISS/EVA, d’amarrage et de la construction de l’ISS. Nous pensons que les mission STS pour la station ISS missions sont liées à l’aboutissement ultime des missions de la navette pour démontrer sa grande flexibilité et de ce fait, nous avons décidé d’allouer une part plus importante des missions ISS.

Exciting Simulations™ prévoit d’ajouter des missions jusqu’à couvrir toutes les missions STS historiques.

Modèle de vol

Le modèle de vol est vraiment passionnant car il peut se composer en deux parties, le 1er est le mode dans l’espace où pour diriger la Navette, vous devrez utiliser les OMS et le RHC. En effet, les gouvernes n’ont aucune action dans l’espace pour la simple et bonne raison qu’il n’y a pas atmosphère, donc pour s’orienter, la navette utilise des petites pulsions d’air comprimé. Celles ci peuvent être plus ou moins fortes, tout dépend du son mode via le pilote automatique hybride appelé DAP. Un fois la Navette lancée sur un axe, rien ne pourra l’arrêter ce qui fait là tout le charme des vols orbitaux, il vous faudra vous déplacer axe par axe sinon vous risqueriez de vous trouver en vrille et dans l’espace, cela peut avoir des conséquences tragiques. On comprend mieux pourquoi les « docking » en orbite prennent plusieurs heures !

Une fois dans notre atmosphère, il vous faudra basculer le mode de contrôle via l’interface CSS. Les gouvernes prendront le relais et vous aurez entre les mains le planeur le plus lourd du monde, aussi appelé par les astronautes, le fer à repasser ! Et là, vous devrez vous entrainer sévèrement car pas le droit à l’erreur, nous sommes loin d’un simple avion qui en cas d’approche manquée peut remettre les gaz ! La Navette ne dispose pas de moteurs ! heureusement que le simulateur propose pour chaque mission des entrainements à l’atterrissage !

Conclusion de Space Shuttle mission simulator

Exciting Simulations™ propose là du grand cru pour les fans de la Navette Spatiale ou bien les personnes voulant se lancer dans l’aventure spatiale. Les différents modes de difficultés bien conçus font que cette simulation peut convenir à tous les niveaux de simulation. Expert ou amateur, enfilez votre combinaison et montez dans la Navette et faites la décoller ! Sentez les vibrations ou la légereté d’une mise en orbite, amarrez vous à la Station Spatiale que VOUS aurez construite via les missions précédentes ! Space Shuttle Mission 2007 vous apporte du vent frais dans la simulation ! L’espace est à vous !

Liens utiles de Space Shuttle mission simulator

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