ORBX : FTX EU England

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Attention, un brouillard peut cacher un fog…

Les développeurs australiens ont frappé un grand coup à la porte de l’Europe en proposant d’adapter leur savoir faire au territoire anglais. La frénésie pour cette nouvelle région fut telle que les nombreux acquéreurs ont battu tous les records de vente, toutes scènes confondues, en une seule journée. Enorgueillie depuis par le prix SimHQ 2012 de « Meilleure scène et terrain », de nombreuses voix se sont élevées dans le monde de la simulation pour protester contre le rendu proposé à base de landclass spécifique et de mesh adapté, argumentant que ce territoire n’est pas représentatif de la réalité. Un premier service pack est déjà disponible afin de régler les principaux problèmes rencontrés par les acheteurs. Chez Avionic Online, nous préférons prendre du recul sur la vindicte populaire, alors faisons le tour de la scène ensemble et laissez nous vous expliquer pourquoi nous estimons que les utilisateurs qui se sont sentis floués ont eu, au final, tort…

Achat et installation


La scène est disponible chez FlightSimStore au tarif de 32,50 euros. Dès que paiement (Carte bancaire, Paypal, virement bancaire) est validé, on reçoit par mail (on peut également avoir accès à son achat directement sur son compte créé chez FlightSimStore) le lien de téléchargement ainsi que les références de l’achat à indiquer lors de l’installation (numéro d’achat, date, numéro de série). S’il s’agit de votre première scène chez ces développeurs, rien de plus simple : lancez l’utilitaire et laissez-vous guider. En plus de la scène, un gestionnaire appelé FTX Central apparaitra sur votre bureau afin de vous permettre de régler votre simulateur comme il se doit pour profiter de la scène, cette dernière faisant partie de la branche EU (Europe). Si vous avez déjà d’autres scènes ORBX, FTX Central vous est alors familier et il suffira avant l’installation de le basculer sur le mode « DEFAUT » afin de ne subir aucun problème de compatibilité à l’installation de la scène avec de précédentes productions. Au final, votre FTX Central vous présentera une nouvelle région intitulée EU. Le Service Pack s’installe après la scène, FTX Central devra cette fois-ci être réglé sur EU pour éviter les incompatibilités. Enfin, n’oubliez pas d’installer à nouveau les dernières bibliothèques d’objets disponibles sur la page support du site d’ORBX afin de profiter pleinement de la scène.

Techniquement parlant…


Difficile est la tâche du testeur qui souhaite vous expliquer les choix techniques d’ORBX sans se perdre dans les méandres des technologies disponibles. Sachez tout d’abord qu’en matière de texture au sol deux méthodes existent, le photo réalisme et le landclass, chacun avec ses avantages et ses inconvénients. Imaginez un instant la carte de l’Angleterre et apposez un quadrillage par-dessus. Chaque carré de ce quadrillage pourra recevoir une texture pour représenter le sol. La texture sera donc soit très générique (principe du Landclass : le terrain réel est fait de prairies le sol sera donc vert, ou de sable et la texture sera jaune, ocre, sable) soit d’une précision photographique (principe du photo réalisme : à base de photographies aériennes, on recale la texture à l’endroit exact ou elle doit apparaitre et l’impression de réalisme est maximale).

Au final, soit on a face à nous un terrain fait de textures génériques qui rappellent le sol original (mais dont le poids est moindre), soit une texture de qualité photographique (beaucoup plus gourmande en terme de place nécessaire sur le disque dur, d’autant plus si la texture est très précise : une scène en 50cm/pixel sera deux fois plus lourde qu’une en 1m/pixel par exemple).
Ceci étant rappelé, il faut aussi convenir que l’Angleterre a déjà été traitée par plusieurs autres sociétés de production pour FSX, Ultimate Terrain X (UTX) et Ground Environnement X (GEX) exploitant des données européennes pour afficher un landclass sur le territoire avec des textures très génériques, ce qui fait que de l’Allemagne à l’Angleterre en passant par la France, toutes les textures se ressemblent quand même plus que moins. Difficile dans ce cas de distinguer les différences…

D’autant plus que ces produits globaux, s’ils retravaillent les grands cours d’eaux, les côtes ou les plus grand axes routiers, ne s’embarrassent pas de représenter de plus petits détails. L’autogen associé est celui proposé par FSX, juste recalé en fontion du landclass. De fait, quelqu’un habitué au vol réel dans une région particulière, reconnaitra sous simulateur les grandes lignes de la région mais pourra ressentir une frustration concernant les détails, que ce soit au niveau des villes qui auront la bonne superficie mais pas forcément les bonnes proportions, ou au niveau des forêts qui occuperont un carré de terrain sans réelle forme, ou en tout cas, avec un rendu pas très naturel. A l’inverse, une société comme Playsims propose des ensembles photo réalistes, mais sans autogen – donc pas de bâtiments ni d’arbres ni d’objets, auxquels on ajoutera d’autres produits afin de pallier à ce manque. Cette méthode a un coût autant financier qu’en termes d’espace occupé sur le disque dur, à ne pas négliger malgré la précision de l’ensemble dans son rendu.

Chez Orbx, c’est la méthode du landclass qui est privilégiée dans 99% des cas, le pourcentage restant définissant de petites zones photo réelles (ports, zones industrielles, zone naturelle exceptionnelle…) disséminées dans la scène. Toutefois, ce landclass est bien plus travaillé qu’avec des produits plus génériques comme UTX ou GEX, les textures utilisées pour les dalles sont plus fines que celles fournies par défaut, plus diversifiées et plus crédibles également. Les images suivantes, prise à 3000 pieds dans la campagne anglaise illustreront parfaitement ces propos.


La scène FTX EU England est tout à fait crédible !

La différence est flagrante : le landclass par défaut d’FSX répète à outrance les mêmes textures sur l’ensemble d’un territoire là où celui d’Orbx sera plus hétérogène, présentera plus de différences entre les terrains et affichera des textures bien plus fines. Il en va de même concernant l’ensemble des cours d’eau, des routes, des côtes ou des voies de chemin de fer. Là où FSX (ou GEX ou UTX) vont faire coïncider les axes les plus visibles et représentatifs, l’équipe a choisi de faire figurer une forte majorité de voies de communication avec un placement millimétré. Le résultat est très convaincant : sans atteindre la précision d’une scène photo réaliste, vous pouvez être certains qu’en comparant la scène avec une photo aérienne réelle (essayez avec Googlemaps, les ressemblances sont flagrantes…) vous retrouverez de multiples repères. Tel rond point au bon endroit, tel lac ou réservoir d’eau occupant la bonne superficie et parfaitement localisé. La scène FTX EU England est tout à fait crédible et ne méritait pas le tôlé qu’elle a subi de la part de certains, même si elle ne présente pas autant de spectacle et d’environnements différents comme on peut en rencontrer en Australie, dans le nord des Etats-Unis ou même en Nouvelle-Zélande, les zones déjà traitées par Orbx. Alors évidemment, Mr ou Mme Smith ne reconnaitra pas sa rue ou sa maison avec ce système. En revanche, la ville, ses accès, ses points remarquables (dans la mesure où il y en a) seront tout à fait identifiables du premier coup d’œil. Et ce résultat, toutes les sociétés présentant des produits à base de landclass ne le fournissent pas forcément, ou bien à petite échelle, uniquement pour les grandes agglomérations ou les zones les plus médiatiques.

Faux plat…


Si le point le plus haut d’Angleterre se trouve être le Scafell Pike culminant à 978 mètres, n’allez pas croire que le pays est plat. Entre les falaises de Douvres et les innombrables collines des différentes régions administratives (Mendip…), en passant par les ensembles comme les Monts Cambriens, Fell ou Cheviot, la chaine Pennine, le territoire jouit de reliefs, certes érodés par le temps et la dernière période glaciaire, mais qui ont le mérite d’être présents dans la scène. Le « holgermesh » précis à 10 mètres/pixel souligne nombre d’aspérités et respecte la topologie locale. Entre les collines dont bon nombre sont dédiées à l’agriculture et les régions plus élevées qui abritent pour certaines les grands parcs nationaux, ce serait une grossière erreur de penser que l’Angleterre est aussi plate qu’une autoroute. Tous les cours d’eau, rivières et fleuves, lacs et réservoirs, sont représentés, même si les plus importants comme la Tamise qui traverse Londres ou l’Humber restent les plus visibles en altitude. En effet, étant donné la géographie du pays, les cours d’eau ont peu de pentes à dévaler et surtout sont très court de la source à l’estuaire où ils se jettent. De fait, ces fleuves restent particulièrement étroits tout au long de leur périple avant de quadrupler de volume une fois à l’approche de la mer du Nord ou de la Manche. Le travail sur le rendu aquatique a bénéficié des meilleurs soins et il n’est pas rare de rester contemplatif devant le traitement apporté, ici appuyant sur la profondeur, là laissant deviner une langue de terre peu recouverte. Leur placement respecte totalement la réalité, les développeurs ayant au passage arrondi et adouci leur lit, tout comme l’ensemble des côtes qui a été repensé, offrant plages, falaises, marécages…


Dès que l’on décolle, les textures donnent le ton !

A l’image de la France, l’Angleterre bénéficie d’une Histoire très riche. A l’image de Stonehenge, un ensemble mégalithique vieux de plus de 5000 ans orienté en fonction des solstices d’hiver et d’été, ou encore au travers des nombreuses villes qui ont traversé les siècles comme Londres, Liverpool, Leeds, Manchester ou Southampton, les développeurs ont replacé les bâtiments historiques en fonction des modifications apportées au terrain, créé des sites (Stonehenge pour le plus connu), entretenu les activités des cités les plus emblématiques. Peuple de la mer, nation conquérante et colonialiste, de très nombreux ports parsèment l’ensemble des côtes, des plus pittoresques qui se voient affublés d’une petite marina, aux grands ports industriels qui profitent d’un traitement de faveur avec petite zone photo réelle, grues, containers, hangars, où de nombreux navires statiques ont pris place (tankers, futur porte avion en construction…) mais également de très nombreux phares pour guider tous ces flottants.

L’Histoire contemporaine n’est pas oubliée pour autant, la deuxième guerre mondiale ayant été à l’origine de nombreuses créations d’aérodromes, tous grandement améliorés par rapport aux versions de base FSX. Les plus grandes plateformes comme Heathrow ou Gatwick sont parfaitement reconnaissables, même si le niveau n’atteint pas celui d’une scène ultra détaillée spécifique, c’est toujours un bonus bien appréciable de trouver des pistes, des taxiways, des terminaux et des hangars, de l’herbe volumétrique et des avions statiques pour certains. Toujours dans l’optique moderne, notons que Londres voit apparaitre le village olympique qui a servi en 2012 avec le stade inhérent ou encore The Shard (ou London Bridge Tower), le bâtiment de bureau le plus haut d’Europe. Absent d’FSX par défaut (à moins que l’on ne l’ai pas remarqué…), à Manchester on peut désormais découvrir Old Trafford, le célèbre stade abritant les diables rouges. Autour du territoire, de nombreuses fermes éoliennes voient le jour, sur terre comme au large des côtes anglaises, tandis que les centrales électriques plus anciennes bordent les principaux estuaires.

Les ailes dans le brouillard


On peut penser que c’est une légende mais le climat anglais (et c’est encore plus vrai sur Londres) n’est vraiment pas favorable au vol à vue (VFR). Heureusement nous sommes en simulation, et pendant que nous réalisons la visite prévol des deux appareils (Carenado C182T Skylane et Carenado King Air B200 – non, on ne se refuse rien…) qui vont nous aider à apprécier le territoire anglais, un petit clic de souris magique fait disparaitre le plafond bas de la météo réelle (1500 pieds la couche nuageuse…) pour quelques coins de ciel bleu supplémentaires. La machine de test, un core2duo cadencé à 3Ghz, 8Gigas de mémoire pour épauler et une Nvidia Geforce GTX 660 pourvue de 2 gigas en DDR5, va nous permettre de connaitre les performances et les limites de la scène, surtout avec ces deux avions qui ont chacun leur impact propre sur le framerate. S’il est vrai que la gourmandise du King Air B200 nous oblige à exploiter un autogen un peu moindre (diversité autogen réglée en extremement dense / densité autogen réglée sur dense), cet appareil devant nous servir pour de longues distances (par rapport au Cessna, tout est relatif…) et en altitude, le Skylane nous autorise plus à nous promener en rase campagne, les reliefs étant limités en hauteur, on peut se stabiliser à 3000 pieds sans craindre de percuter quoi que ce soit (en dehors d’un autre appareil…) tout en affichant une densité d’autogen maximale sans perte de fluidité.

Et c’est la première force de cette nouvelle région FTX : un impact amoindri en termes d’images par seconde. Alors, c’est quand même moins vrai sur Londres et sa périphérie, où l’extrême densité de bâtiments ajoutée à celle du trafic aérien sur les grosses plate formes peut mettre à mal cette fluidité. Dans ce cas précis, nous avons eu recours au Jetranger par defaut pour survoler la capitale anglaise et il fut agréable de constater qu’avec un appareil moins gourmand, la scène redevenait rapidement fluide, même en poussant les paramètres graphiques dans leurs extrêmes. Mais ca reste très localisé, d’autant que sur l’ensemble du territoire, nous n’avons pas constaté de ralentissement, que l’on décolle de Manchester, Plymouth, Newcastle ou Liverpool. Le Skylane de Carenado est idéal pour survoler les petits ports et faire quelques sauts de puce entre les nombreux aéroports améliorés par les développeurs. Le King Air s’impose comme une référence dès qu’il s’agit de relier deux villes assez éloignées. Dans l’ensemble, avec des réglages aux ¾ des options graphiques, vous ne devriez avoir aucun mal à maintenir 25 images par secondes sans saccades.

Dès que l’on décolle, les textures donnent le ton et c’est très agréable de survoler ce territoire où, malgré une certaine monotonie dans le paysage, on ne remarque pas de répétition à outrance des textures. Le travail est soigné et minutieux. A partir de 3000 pied, l’illusion porte. D’autant que le placement des voies de communication est assez remarquable et incroyablement proche de la réalité. Ainsi, au fil du vol, il n’est pas rare de contempler ici un champ labouré, là une prairie verdoyante que l’on imagine aussi rase que les nombreux greens de golf que l’on peut croiser. L’autogen par défaut a laissé place aux modèles d’Orbx, certaines essences de végétaux ont été conçues spécialement pour la scène, les maisons sont représentatives du vieux continent où la brique, sans être omniprésente, se taille tout de même la part du lion. Les grandes villes paraissent plus européennes. Il est amusant de constater que, même si on n’a jamais posé le pied sur l’île, on est en territoire connu, les séries anglaises nous ayant un peu instruits au préalable. On se surprend à espérer voir sortir d’un cottage, parfaitement encadré de ses haies, un autochtone qui tondrait sa pelouse. C’est par ailleurs une autre des grandes forces de cette scène : les objets sont si bien placés que l’effet est presque naturel. Le traitement de l’eau, que l’on regarde les fleuves, leur estuaire ou même les côtes propose une grande diversité de couleurs et d’aspect, ajoutant à cette impression de réalisme. Les nombreux points remarquables comme certaines tours ou certaines zones d’activités spécifiques sont reproduits tout en détail, parfois avec une petite base photo réaliste bienvenue.


Et ils sont assez nombreux à avoir été reproduits. Outre les monuments historiques citadins, présents dans FSX de base ou ajouté à la scène par les concepteurs, et les espaces industriels (ports, usines, zones commerciales et industrielles, centrales électriques…), d’autres lieux spécifiques sont disponibles, que ce soit un des nombreux phares (certains sont pourvus d’un hélipad), une des fermes à éolienne, des châteaux ou demeures royales ou princières, le Pont du Millénaire, le Ski Center (un établissement intégrant une pente enneigée exploitable toute l’année), le projet Eden et ses expériences sur l’environnement et le développement durable ou encore le complexe mégalithique de Stonehenge, vous aurez l’occasion de les croiser au cours de vos vols. La région montagneuse localisée au centre du pays et se déployant du nord au sud vient rompre avec les collines et les champs alentour, cela reste évidemment anecdotique tant l’élévation des principaux sommets est limitée mais le changement est très appréciable.

Les développeurs (l’équipe en charge de FTX EU England est basée… en Angleterre ! Ça aide…) ont évidemment ajouté les 5 saisons (Printemps, Eté, Automne, Hiver et Hiver rigoureux) et le traitement nocturne de la scène. Si le printemps et l’été font la part belle aux couleurs vertes, l’automne pare le sol de couleurs brunes tandis que l’hiver déploie un manteau blanc de toute beauté. D’ailleurs, s’il y a bien un vol nocturne à faire, c’est le tour de Londres. Entre Big Ben, le quartier des affaires la City, l’aéroport London City, le Tower Bridge ou la grande roue du London’s Eye, vos yeux brilleront comme si vous étiez à un festival pyrotechnique. S’il fallait trouver des défauts à la scène, disons que par certains endroits la transition entre les catégories de texture peut apparaitre brutale, surtout en ville où on peut passer d’une zone résidentielle à un parc où la texture impose une cassure très nette. Ca arrive mais ce n’est pas non plus systématique et dans l’ensemble assez rare. De même la transition entre les zones montagneuses et la campagne aurait mérité que l’on s’y attarde, pour plus de cohérence. Enfin, les fameuses « Cliff Of Dover » (falaises de Douvres) de calcaire, que l’on peut apercevoir depuis Calais de l’autre côté de la Manche, affichent une texture qui reste assez standard. On aurait aimé plus de détails dans la représentation de cette barrière naturelle.

Conclusion


Finalement, la région anglaise proposée nous a convaincu. L’équipe en charge a fait ce qu’Orbx sait faire de mieux : de l’Orbx. Du FTX. Et nous avons beau essayer de comprendre les motivations de ceux qui se sont plaints, il n’y a rien à nos yeux, malgré quelques défauts, qui justifie une telle levée de bouclier. La scène présentée est superbe, propose des textures fines, des rivages et des berges dont le découpage est parfois si précis que s’en est chirurgical, toutes les saisons sont représentées, les grandes villes autant que les petits bourgs sont réalistes, tout comme les routes, les cours d’eau et les chemins de fer. Les aéroports ont bénéficiés d’aménagements bienvenus et de nombreux lieux et sites iconiques sont présents. L’autogen est une vraie réussite, son placement est judicieux et les modèles de bâtiments proposés très européens. La scène est fluide, même si on pousse les paramètres en exploitant un aéronef lourd. D’autre part, nos tests ont démontré que la compatibilité avec de nombreux addons locaux (aéroports de UK2000 ou d’Aerosoft) comme avec une région plus lointaine (Haute Normandie VFR de France VFR) était assurée, sans disparition d’autogen, sans problème de texture. Lorsque l’on sait qu’en sus, un utilisateur a réalisé un projet pour rassembler London City X d’Aerosoft avec la scène FTX EU England et que deux scènes d’aéroports ultra détaillés sont déjà disponibles, on sait que l’aventure européenne d’Orbx n’en est qu’à ses débuts. Une très bonne surprise !


Où acheter et note du produit

Page produit FTX EU England chez Orbx

Prix et achat : 5/5
Téléchargement / Installation : 5/5
Documentation / Support Technique : 5/5
Fluidité : 4/5
Graphismes / Ambiance : 4/5
Textures saisonnières / évolutivité / bonus : 4/5

Note finale 90%

5 Commentaires

  1. Orbx – FTX: EU EGSG Stapleford Airfield DVD | Le magasin FlightSim …
    http://www.flightsimstore.com/product_info.php?products_id=2322
    La description. Il s’agit d’un aéroport Orbx FTX, et en tant que tel, une copie de Orbx FTX EU England doit être installée avant utilisation. Dans Essex, cherchez-les tous. Situé dans le quartier de la forêt Epping d’Essex est Stapleford Airfield. C’est la première entreprise de Russ White au Royaume-Uni et le premier de sa série d’aérodromes britanniques VFR. Stapleford a commencé dans le …

  2. Vous avez compris comment procéder pour une communication intéressante et rapide :

    Tous les simmers qui se respectent recherchent des scènes de qualité à l’achat pour voler sur ordinateur ou pc.

    Car ils volent sur ordinateur pour se rapprocher du modèle réel.

    Donc , ils sont pointilleux au niveau des scènes vendues sur le web et c’est normale.
    Exemple/

    de scène de qualité (ORBX ) ce site créer des scènes de très bonne qualité.
    Malheureusement , ils n’acceptent pas le paiement par le bais de la banque Paypal .
    c’est dommage, car de nombreuses personnes et simmers ou clients internautes désirent passer des commandes par ce bais de paiement.

    En espérant qu’un jour ils entendent l’appel.

    Si vous connaissez une plate forme qui propose le paiement par Paypal pour les scène de chez ORBX, je dis bien des scènes originales de chez orbx, faites moi le savoir par e-mail.

    Merci !!!
    à avionic online de laisser un espace ou l’on peut converser ou laisser un commentaire directement. C’est géniale.

    Merci et à bientôt s

  3. Bonjour,

    ORBX ne vend plus chez flightsimstore : https://www.flightsimstore.com/index.php?manufacturers_id=92

    Je ne les vois plus non plus sur Aerosoft ou Justflight.

    Je pense qu’ils sont passé entièrement sur leur propre système de vente.

    Paypal ne semble pas pris en compte, mais ils parlent de cartes prépayées ou du system Stripe qui semble fonctionner comme paypal et être aussi sécurisé.

    Bon week-end et bons vols.