Concorde X

Flight Sim Labs

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Introduction

Le Concorde est un avion de transport supersonique construit par l’association de Sud-Aviation (devenue par la suite l’Aérospatiale après sa fusion avec Nord-Aviation et la SEREB) et de la British Aircraft Corporation (devenue ensuite British Aerospace).

C’est l’un des deux seuls avions de ligne supersoniques à avoir été produits, l’autre étant le Tupolev Tu-144 soviétique parfois surnommé Concordski ou Concordoff en raison de sa ressemblance avec Concorde.

La vitesse de croisière du Concorde est de Mach 2,02 à une altitude variant de 16 000 à 18 000 mètres. Il est doté d’une aile delta modifiée et de moteurs à postcombustion développés d’abord pour le bombardier britannique Avro Vulcan. Il est aussi le premier avion civil à être équipé de commandes de vol électriques, précédant ainsi les Airbus.

Les vols commerciaux ont commencé le 21 janvier 1976 et se sont terminés 27 ans plus tard en 2003. Ces premiers vols commerciaux ont eu lieu avec British Airways et Air France au-dessus de l’océan Atlantique le 21 janvier 1976. Les derniers vols ont eu lieu respectivement le 31 mai 2003 pour Air France et le 24 octobre 2003 pour British Airways, le vol de la « retraite » ayant eu lieu le 26 novembre de la même année. Jean-Cyril Spinetta, alors président d’Air France, a affirmé : « Concorde ne s’arrêtera pas vraiment car il ne sortira jamais de l’imaginaire des hommes ». Le Concorde reste un symbole de l’aéronautique moderne. (Source Wikipedia)

Après plus de quatre années de développement périlleux et repoussant la limite de Flight Simulator X, l’équipe de Flight Sim Labs vient au devant de la scène avec son nouveau produit : Concorde X ! Nous allons dans ce test voir les qualités et les défauts de cet appareil légendaire, mais aussi l’immersion que ce produit apporte, les nouveautés tant graphiques que sonores par exemple.

Achat et installation

Pour pouvoir acheter le Concorde X il faut dans un premier temps vous rendre sur le site officiel de Flight Sim Labs. Ce produit n’est disponible qu’en version téléchargement et uniquement pour la plateforme Flight Simulator X. Son prix s’élève à 49.95 euros ce qui peut sembler élevé, mais qui s’avère finalement raisonnable pour ce type de produit très poussé ! Une fois le téléchargement terminé, lancez simplement l’installateur automatique qui fera lui-même son travail d’installation. Certains utilisateurs ont rencontré quelques problèmes d’installation qui semblent avoir été totalement corrigés avec la nouvelle version (SP1). Ce produit utilisant des textures de haute qualité, il vous est ensuite conseillé de télécharger l’utilitaire nommé Flightsimlabs Texturefix, qui permettra à Flight Simulator X de charger des très grandes textures. Enfin il est nécessaire d’installer les INS (Inertial Navigation System) disponibles depuis le site de Simufly. Tout ceci est très bien expliqué dans la documentation fournie (voir partie suivante).

Une documentation très riche

C’est un des premiers points forts de ce produit ! La présence de documentation très riche, permettant un apprentissage approfondi du Concorde pour ainsi pouvoir faire voler cette bête au mieux et dans l’art du respect des différentes procédures. Un manuel de description des systèmes, un tutoriel de vol entre Londres Heathrow et New York très complet, des fiches de plans de vols… On pourra cependant regretter l’absence de procédures particulières Air France : en effet il y en a plus pour la compagnie anglaise British Airways, que pour notre compagnie Nationale. Petit déception donc pour les pilotes volant aux commandes de Concorde depuis le HUB parisien ! Toute cette documentation se trouve au format .Pdf mais il vous est fortement conseillé d’imprimer toute la paperasse, pour une meilleure lecture et apprentissage en direct.

L’appareil dans son ensemble (2D, VC, Extérieur)

Ne le cachons pas, il vous faudra une bonne machine dotée d’un minimum de 6Gb de mémoire pour pouvoir faire tourner aisément votre Concorde X ! Avec 3 Gb de mémoire les panels ont tendance à apparaitre en noir et les switchs ne marchent plus comme il se doit. Il est évident qu’en parlant de mémoire il faut aussi un processeur suffisamment puissant ! L’installateur vous permet cependant de choisir entre textures de haute qualité ou texture de qualité normale, ce qui influera bien entendu sur le rendu visuel mais améliorera les performances ! il est cependant conseillé d’utiliser les textures haute qualité…

De plus le vol en croisière à Mach 2 a tendance à devoir charger les décors extérieurs plus rapidement. Il est clair que sur un vol du type Paris — New York vous survolerez la plupart du temps des océans, donc là aucun problème, mais attention pour les vols continentaux par exemple.

« Ce n’est pas une suite du Concorde SSTSIM ni une simple mise à jour, c’est un Concorde complètement refait sous un nouveau nom que l’on retrouve ici. « 

Commençons donc par l’intérieur de cet appareil mythique. Ce produit dispose d’un panel 2D Wide pour les écrans 16:9 et normal en 4:3 pour les autres utilisateurs, un panel magnifiquement reproduit et d’une qualité plutôt exceptionnelle. Pas de difficultés particulières pour la lecture des données sur les instruments, des couleurs bien choisies, un panel composé uniquement de photos réelles du poste de pilotage.

« Un nombre impressionnant de panneaux ! « 

En effet l’équipage du Concorde était constitué d’un Commandant de bord, d’un Copilote et d’un Officier Mécanicien Navigant appelé aussi OMN. On retrouve donc sur ce panel 2D le côté Commandant, le côté Copilote, l’overhead panel, le pédestal et tous les panneaux de l’OMN nécessaires au bon déroulement du vol. J’insiste encore une fois sur le fait qu’il est nécessaire de posséder au minimum 6Gb de mémoire, car dans le cas contraire, l’ouverture de ces nombreux panneaux en bitmap peut provoquer une grande perte de mémoire et un retour au bureau immédiat.

Tous les switchs sont opérationnels ! Presque tous les instruments sont présents ! de même la logique derrière chaque système parait tout à fait correcte à première vue.

Penchons nous maintenant au niveau du Cockpit virtuel. Remarquons que les textures utilisées sont nettes et précises. On peut cependant noter le ton un peu fade de celles-ci, en comparant avec de vraies photos du cockpit Concorde … Il n’empêche que le cockpit virtuel est à première vue très immersif disposant lui aussi de tout ce qu’il faut pour pouvoir piloter correctement l’avion. Une petite déception quand même au niveau du panneau OMN : en effet celui-ci n’est pas cliquable en cockpit virtuel (peut être du fait du trop grand nombre de switchs sur ce dernier), il vous est donc impossible de contrôler le panneau OMN en vue 3D. Cependant lorsque vous cliquez sur le panneau OMN désiré, celui-ci apparaîtra en popup 2D : peut-être est ce préférable pour ne pas cliquer n’importe où sans faire exprès ! En effet le panel 2D a le mérite d’être plus lisible et donc plus précis. Tous les boutons ,absolument tous sont modélisés en 3D, aucun panneau n’est plat !!! même le panneau OMN qui n’est pas cliquable en 3D a été modélisé avec tous ces switchs en 3D. Dans le cockpit virtuel vous disposez de pleins d’animations différentes : les sièges qui bougent, la tablette de l’OMN rétractable, les vitres latérales qui s’ouvrent… Notons tout de même que l’éclairage Flood en cockpit virtuel n’est pas si bien réussi… Autrement les autres éclairages semblent être assez correctes.

L’équipe de Flightsimlabs a aussi pris la décision de modéliser une partie de la cabine avant du magnifique oiseau blanc ! Ouvrez la porte du poste de pilotage et hop vous voilà dans le galley cuisine avant ! les sièges passagers sont bien reproduits et depuis les hublots il est agréable d’admirer le ciel bleu noir de haute altitude, tout en surfant sur les hautes couches à mach 2 !! et oui avec Concorde nous volons « suspendus entre le Soleil et la Lune, plus vite qu’une balle de fusil… » De plus la cabine dispose d’un compteur machmètre et d’un autre pour l’altitude, il est donc agréable, après avoir suivi rigoureusement toutes les procédures complexes, d’arriver à mach 2 et d’aller en cabine pour lire le machmètre !

Enfin terminons par la vue extérieure et donc la modélisation extérieure de l’appareil. Vous disposez avec ce produit des livrées Air France (F-BVFB) et British Airways en versions nouvelles et anciennes versions datant du début des opérations sur Concorde. Ces peintures sont réalisées avec soin et détails. Il vous est possible de lire facilement ce qui est écrit en rouge sur les nacelles des réacteurs ou sur les portes principales de l’avion (j’ai pu lire très très facilement « To open, press flap , lift and rotate handle, push door inwards until trolley engages, raise door to stowed position, insert latch pin » car les textures utilisées ici sont de haute qualité ). On peut aussi aperçevoir clairement les lignes de rivets ou les salissures. Au niveau des animations extérieures, on retrouve bien évidemment le nez qui s’abaisse, les ailerons caractéristiques de l’aile Delta, les portes et soutes qui s’ouvrent … Si vous ouvrez les vitres latérales du cockpit et que vous vous rendez à l’avant du nez en vue extérieure, vous aurez le plaisir de voir les pilotes bouger dans leur cockpit !!!! En effet ils regardent à droite, à gauche, bougent la tête en haut ou en bas et sont très bien habillés en uniforme de pilote ! Un autre point fort de cet addon. De même lors du décollage et de l’accélération à mach 2 vous aurez la possibilité d’admirer l’éclat de feu rouge/orange des réchauffes réacteurs. Enfin en phase d’approche la condensation sur l’aile Delta est aussi reproduite. Un sur-usage anormal des disques de freins (plusieurs RTO et long freinages à pleine charge) peut provoquer un feu au niveau de la pneumatique. Vous pourrez alors voir les dégâts causés par votre faute : les freins prendront feu !

Attention à prendre soin de votre avion, une utilisation mal encadrée de la motorisation peut aussi engendrer des dommages irréparables en vol sur les moteurs. Veillez donc à respecter à la lettre les procédures données !

Les systèmes sur le Concorde X

C’est un des points les plus importants de ce test ! La simulation à proprement dite des différents systèmes présents sur Concorde. C’est d’ailleurs sûrement l’une des difficultés du développement qu’a rencontrée l’équipe de Flight Sim Labs et que n’importe quel développeur rencontrera…

Concorde est connu pour ses systèmes type B727, B707 à savoir un cockpit aux instruments analogues (presque que des aiguilles et cadrans). ADI, HSI ou INS, tous les instruments datent et sont forcément moins précis à la lecture que les écrans LCD présents sur les 777 ou autres 737NG. Un nombre impressionnant de cadrants fait justement la particularité du Concorde. Il est clair que ce produit n’est pas destiné au simmer qui vient juste de commencer l’apprentissage de Flight Simulator, mais plutôt aux plus aguerris d’entre nous, qui n’auront pas peur de passer plusieurs jours à lire les manuels, les procédures et les tutoriels.

INS : L’INS (Inertial Navigation System) est l’ancêtre de nos actuels FMC. C’est un système assez basique qui nécessite l’entrée de coordonnées géographiques correspondant à des points de navigation. Il est possible d’entrer au total un nombre de 9 points consécutifs. L’équipe de Flight Sim Labs a choisi d’incorporer dans son produit le très connu et très poussé INS de Simufly (http://www.simufly.com/). L’incorporation est d’ailleurs très bien réalisée et aucun bug entre les deux programmes n’a été détecté ici. Les INS peuvent être alignés soit manuellement (méthode plus longue), soit en pressant sur Ctrl+ i : ceci va lancer la procédure automatique d’alignement des centrales inertielles en mettant à jour leur position de départ, soit votre position géographique au point de stationnement de l’appareil. Une fois cette procédure effectuée, vous pouvez entrer votre route selon les différents points de passage. Des plans de vols British Airways et Air France sont fournis et vous permettent de rentrer ces paramètres. De plus un module spécial et très pratique a été incorporé sur les INS : en cliquant sur la vis en bas à gauche, vous pouvez choisir les différentes routes (ex : Londres-NY), et les points de navigation vont être automatiquement rentrés ! Un plus pour ceux qui veulent gagner du temps ! (sorte de routes préenregistrées)

Pilote Automatique : celui-ci est très bien reproduit et suit la logique de connexion entre les INS, le VOR et la vitesse/altitude. Le pilote automatique suit correctement la route commandée par l’INS et aucun bug n’est à noter à ce niveau là. Cependant j’ai pu noter un bug qui doit être relatif au modèle de vol couplé à l’autopilote : en effet quelques instants après le décollage avec le mode HDG (Heading) sélectionné, l’avion a une forte tendance à osciller de gauche à droite ce qui est très génant et perturbe le vol. Une fois la touche INS ou HDG HOLD sélectionnée tout rentre dans l’ordre et l’avion n’a plus ce genre de comportement. Un bug qui sera surement corrigé dans la prochaine mise à jour de l’avion. Le Pilote Automatique comporte de modules AP1/AP2 et FD1/FD2 ainsi que AT1/AT2 et ceux-ci fonctionnent très bien. L’avion suit parfaitement la vitesse ou l’altitude demandée.

Instruments divers : ADI communément appelé Attitude Direction Indicator est correctement reproduit et adopte un caractère normal en vol. Il est doté d’un bouton test blanc en bas à droite, d’un indicateur lumineux lorsque vous passez la DH (Decision Height), ainsi que d’un témoin CHECK ATT. Cet ADI est couplé au HSI (Horizontal Situation Indicator) qui vous permet de suivre votre route et donc votre cap et de vous informer sur les distances nécessaires. Passons maintenant à l’indicateur de vitesse appelé aussi Airspeed Indicator : Celui sera fonctionnel en vol normal comme sur un avion de ligne, mais passé les 400 noeuds il vous faut utiliser le machmètre situé juste en dessous. Ces deux instruments sont encore une fois bien simulés et ont une attitude normale. Le seul instrument vraiment électronique situé à bord du Concorde est le petit écran du TCAS (trafic collision avoidance system). Celui-ci marche comme il faut et fait apparaitre correctement le trafic aux alentours de votre appareil.

Station OMN : ce panneau situé à l’arrière droit du poste de pilotage comprend un nombre très impressionnant de boutons en tout genre. C’est aussi le coeur des systèmes contrôlant l’avion. Il est composé du panneau Cabin Pressure, Air Bleed, Temperature, Hydraulics, Engine Control, Secondary Engine Instruments, AC electrics, DC electrics, Upper Fuel, Lower Fuel, Brake Controls, Air Intakes, Nozzle Override. Tous ces panneaux permettent de gérer les systèmes de l’avion et sont donc indispensables ! La gestion du carburant est unique sur Concorde, sachant qu’il faut transférer du carburant de l’avant à l’arrière en fonction des différentes phases de vol. Flight Sim Labs vous laisse la possibilité de faire ces réglages en vol par vous même et de façon réaliste. Cependant une option à activer dans le Manager vous permet d’avoir l’aide précieuse d’un VFE : Virtual First Engineer. Celui-ci va transférer automatiquement le carburant en fonction des phases de vol, et ceci de façon précise ! De même il peut vous être utile lors de la phase de démarrage des moteurs : en effet en pressant Ctrl + E une procédure très réaliste de démarrage moteurs va être lancée par le VFE(Même raccourci que Flight Simulator X pour les avions par défaut, mais là grande différence car démarrage selon la vraie procédure).

Ce panneau OMN contrôle également les témoins d’ouverture des portes. Par exemple si la porte avant droite et ouverte un témoin s’allumera sur la console. L’équipe de Flightsimlabs a pensé très intelligemment à une innovation : en cliquant droit sur les témoins d’ouverture des portes et soutes vous ouvrez la porte ou soute sélectionnée ! Très pratique car plus besoin de raccourcis !

En règle générale tous les instruments du Concorde X ont été travaillés avec soin et précision et en faisant un vol dans les régles de l’art on se rend compte à quel point ce produit est bien fait ! Selon mes connaissances aucun bug à noter de ce côté là ! L’avion est parfait !

Les sons

Voici un point très important et de qualité remarquable sur ce produit ! En effet des tonnes de sons différents sont présent partout ! Première surprise lorsque vous cliquez sur les siéges équipage ils reculent et émettent le son particulier du système électrique qui leur permet de bouger. Tous les switchs ont eux aussi des sons particuliers : les boutons du Pilote Automatique auront par exemple un son différent de ceux de l’overhead panel. En parlant de ce dernier, là aussi chaque switch a un son particulier associé.

Le bruit de l’air conditionné de la cabine a lui aussi très bien été réalisé ! Lorsque vous lancez le groupe pneumatique au sol pour alimenter la cabine en air conditionné vous entendez progressivement augmenter ce son de l’air craché par les ventilateurs ! Très grande immersion aussi avec les voix de l’équipage : Flightsimlabs a fait très fort car si vous choisissez la livrée British Airways, l’équipage vous parlera en anglais et selon les vraies procédures particulières à la compagnie. Si vous optez plutôt pour la livrée Air France, l’équipage vous parlera alors en français et selon les procédures standard de la compagnie (avec même un accent français !)… Vous avez par exemple au décollage le Copilote qui annoncera « Poussée Disponible », « V1/Rotation/V2 », « Vario positif », etc …

Enfin le son des moteurs Olympus 593 du Concorde est lui aussi très bien reproduit et tout à fait caractéristique des sons des moteurs du Concorde. Par exemple lors de la mise en poussée de l’appareil au moment du décollage avec les 4 réchauffes caractéristiques du Concorde (+18% de poussée sur les moteurs), vous entendrez depuis le cockpit le grondement des moteurs comme si vous y étiez vraiment ! Impressionnant !

Load Manager

Très pratique pour préparer vos vols ! Vous pouvez directement faire le plein de vos réservoirs (sachant que le Concorde en possède 13 !!) depuis ce loadmanager ! De même vous pouvez calculer le nombre exact de passagers présents à bord ainsi que le précieux centre de gravité dont vous aurez besoin pour les transferts de carburant. Vous avez enfin un menu d’options diverses et très réalistes : moteurs qui s’abiment, restrictions d’atterrissage automatique, le nez qui bouge même en cockpit 2D, le VFE (Virtual First Engineer) qui contrôle le management du fuel, la pressurisation de la cabine et les paramètres moteurs ! Enfin l’activation de différents sons comme les Callouts. Bref un outil très pratique pour contrôler votre bel oiseau !

Conclusion

Pour les passionnés du vol supersonique, les passionnés de cet avion si beau qu’est le Concorde ce produit est fait pour vous. Il vous faudra bien sûr une très bonne configuration car ce Concorde consomme beaucoup de ressources en mémoire, d’autant plus qu’il n’a été créé que pour la plateforme Flight Simulator X du fait des limitations pour l’ancienne version 2004. Certes, quelques défauts de jeunesse subsistent, mais l’avion a été très bien réalisé de la part de l’équipe de Flightsimlabs et franchement le résultat reste bluffant ! Très beau travail de la part d’une équipe qui n’était qu’à ses débuts ! De plus il faut savoir que le forum support est très bien et que tous les problèmes relatifs au produit y sont traités au plus vite. Pour ceux qui sont génés par les procédures trop complexes et qui veulent un produit simple et facile d’utilisation (je parle par là sans avoir à lire le manuel), il ne vaut mieux pas acheter ce produit !

C’est un tellement grand plaisir de pouvoir rallier Paris Charles de Gaulle à New York en si peu de temps et aussi rapide en vitesse et en altitude. L’histoire Concorde est terminée mais grâce à l’équipe de Flightsimlabs vous allez pouvoir revivre cette expérience forte !

La qualité des systèmesQuelques petits bugs de jeunesseModèle visuelLoad Manager très bon support

Références

Concorde X – Flight Sim Labs – 79.95 USD / FSX/P3Dv2/3

 

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